TOSCANA QUATTRO

Entre Siena et Chiusi
Monteroni d’Arbia – Buonconvento – Monastero di Santa Anna
Montepulciano – Chiusi


PRÉLUDE


Quelles sont les femmes (Dom&Bab ?), quel est l’homme (Gil ?) dont le cœur ne battrait, rien qu’à entendre prononcer ce nom : Toscana ! Dans la consonance même du mot, d’une sonorité si fière, si douce, si subtile qui pour nous trois, contient et signifie tant. Nous revoyons pêle-mêle les souvenirs de tant de nobles et délicats paysages, de tant d’ouvrages d’art si intelligents, si sensibles, si sensuels, de tant d’heures exquises vécues dans l’un des plus beaux lieux du monde.

Comment ordonner ce tumulte de sensations et d’images qui assiègent notre mémoire ? Comment évoquer ce tohu-bohu d’impressions, d’émois qui bouleversent encore notre souvenance. Dans aucun autre pays, en effet, la nature et l’art ne se sont aussi bien accordés pour réaliser un tel chef d’œuvre. Mais voyons plutôt…

Sur le départ…

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TOSCANA


Des rubans de sentiers
Ondoient et sillonnent
Des mamelons de crêtes
Aux vertes ondulations
Des courbes de collines
Nobles et délicates

Des palettes d’ocres pluriels
En dégradés de Sienne
Sienne de terre
Sienne de toits
Sienne de pierres
Enluminent tes ruelles escarpées

entre Siena et Monteroni d’Arbia…

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Ici des touches de haies
En camaïeux de verts
Verts de vignes
Verts d’oliviers
Verts de cyprès
Là, des glacis de bosquets

Sous des indigos de ciel
Des bombages de Soleil
En ocre jaune
Des crachis de coquelicots
En ocre rouge
Des grisailles de sculptures

Toscana terre d’ombre
Où tout est acte de beauté
Toscana tes cathédrales
Pour une religion de la beauté
Toscana un accord parfait
Entre ta terre et tes hommes

Gil, Ardon le 4 décembre 2018

Bannières, flammes, étendards, drapeaux, oriflammes…


LA TOSCANE MUSE DES ÉCRIVAINS
par Maeva Demougeot


« Raffinée et harmonieuse, la Toscane magnétise les écrivains. Depuis le 18ème siècle, nombreux sont ceux à venir promener leur plume le long de ses paysages vallonnés. Une terre au cœur du processus créatif où l’inspiration jaillit des allées de cyprès comme des pierres millénaires.

Patrie de Dante et de Pétrarque, la Toscane est, à n’en pas douter, une région où bat le pouls de la littérature. De Stendhal à Jean d’Ormesson, écrivains de tous horizons et époques, sont venus puiser à la source de ses paysages de quoi enrichir leurs romans. »

entre Monteroni d’Arbia et Buonconvento…

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La Toscane, étape phare du Grand Tour des écrivains

« Au 18ème siècle, les familles aisées du nord de l’Europe parfont l’instruction des plus jeunes via un voyage sur les traces des trésors de l’Antiquité et de la Renaissance : Le Grand Tour. Initialement rite de passage, ce Grand Tour séduit les artistes qui décident, eux aussi, de nourrir leur esprit à la faveur de ce patrimoine culturel. La Toscane, berceau du « Rinascimento » (La Renaissance est un mouvement artistique et culturel qui se développe en Italie entre le quinzième et le seizième siècle), devient alors le point de ralliement de l’intelligentsia européenne. Notamment celui des écrivains qui se pressent sur ses chemins. Cahier et plume en poche, ils immortalisent avec des mots le pouvoir des paysages toscans. »

1, 2, 3… SOLEIL !

« Dans « Italia », publié en 1852, Théophile Gautier y voit « un horizon semé de villes et de villas, moiré d’ombre et de lumière… ». Autant de merveilles qui inspirent à Alphonse de Lamartine ses « Harmonies poétiques et religieuses », en 1826. Si ce périple initiatique cesse au début du 19ème siècle, les auteurs, eux, continuent de célébrer la région. En 1987, le narrateur de la célèbre trilogie de Jean d’Ormesson trouve le bonheur à San Miniato. (« Le Vent du soir » est le premier tome de la trilogie, le deuxième volume est : « Tous les hommes en sont fous » et le troisième : « Le Bonheur à San Miniato« ). »


PAUSE MUSICALE


L’Arpeggiata avec Capezzuto – Galeazzi – Mancini dans Lu Passariello


Au fil de l’objectif…


DES RENCONTRES TRÈS RICHES


Une nouvelle fois c’est Sœur Ginetta qui nous accueille en essayant difficilement de venir à bout des fermetures indomptées de sa nouvelle voiture… Mais l’accueil est toujours aussi agréable et chaleureux par la Petite Sœur de Saint Vincent de Paul. Troisième hébergement dans ce lieu de Paix et d’Amour. Je passerai sur la Felliniesque Patronne de bar, brune à la poitrine largement décolletée, que je n’ose prendre en photo. Je passerai sur Andréa l’adorable patronne de l’hôtel de Buonconvento.

entre Buonconvento et Monastero di Santa Anna…
où l’on quitte définitivement la Via Francigena !

Je ne passerai pas sur Jo, le Belge-Germanophone qui nous sauve de la morsure certaine du terrible Cerbère. Dans la mythologie grecque, Cerbère est le chien à trois têtes gardant l’entrée des Enfers empêchant les morts de s’échapper de l’antre d’Hadès et des vivants de venir récupérer certains morts. (cf: lettre à l’Association du Chemin d’Assise qui suit). Je ne parlerai pas non plus de l’excellent majordome du Monastero di Santa Anna, Stefano, il m’a rappelé le Nestor des aventures de Tintin. Ce Nestor devenu dans la culture francophone l’archétype du majordome, toujours courtois, discret, patient, dévoué à son maître et semblant être imperturbable.


LETTRE A L’ASSOCIATION DU CHEMIN D’ASSISE
Pour signaler la présence de Cerbère qui interdit un passage…


Bonjour Dominique,
Bonjour Eric,

Objet : Cerbère nous interdit le Chemin

Toutefois durant la 64ème étape de Buonconvento au Monastère de Santa Anna il nous est arrivé une mésaventure dont nous souhaitons vous faire part. Au km 18, environ, à 5kms de Lucignano d’Asso sur la « sterrata » que vous indiquez, nous avons été agressés par 3 chiens féroces devant la ferme de leur propriétaire, dont les grilles étaient grandes ouvertes sur la « sterrata ». Propriétaire qui était dans sa cour, que nous avons hélé, mais qui a fait comme s’il ne nous entendait pas.
Nous avons rebroussé chemin et nous avons été pris en stop par un automobiliste Belge, propriétaire d’une ferme près du lieu et qui passait par là. Nous lui avons raconté notre déconvenue et il nous a dit que nous avions bien fait de rebrousser chemin car lui-même s’était fait agressé par ces chiens et avait dû passer 4 jours à l’hôpital, sa fille ayant elle-même passé 2 jours à l’hôpital après des morsures de ces mêmes chiens. Le phénomène est connu dans le coin, un groupe de personnes dont ce Monsieur a attaqué le propriétaire des chiens en justice. Rien n’a changé. Nous avons appris que le propriétaire des molosses en possédait 20, 20 chiens de garde et 2000 moutons.

Lorsque nous sommes arrivés au Monastère de Santa Anna, le responsable Stephano n’était pas surpris de notre malheur, il semblait que d’autres pèlerins l’avaient vécu avant nous.

Tout cela pour vous dire de prévenir les pèlerins futurs du danger de ce passage. Sachant qu’il existe une autre « sterrata » depuis Lucignano d’Asso pour atteindre le Monastère de Santa Anna.

Pour plus de détails et informations vous pouvez joindre Stephano au Monastère de Santa Anna. Cordialement, Dominique et Gilles PAJON


MONASTERO DI SANTA ANNA


EXTRA-MUROS

INTRA-MUROS


LES AVENTURES ORDINAIRES DE MUSARDO… le petit escargot,
alias DOM !


 


VIE THÉÂTRALISÉE DE FRANCESCO


Vous pouvez retrouver toute la pièce de théâtre
écrite durant les 3 premières périodes
dans FRANCESCO !

LES FIORETTI DE FRANÇOIS D’ASSISE
5ème Fioretti Comment François pacifia le loup avec le peuple d’Agobbio

Au temps où François demeurait dans la ville d’Agobbio, apparut un très grand loup, terrible et féroce, qui dévorait non seulement les animaux, mais aussi les hommes; en sorte que tous les habitants étaient dans une grande peur, parce qu’il s’approchait souventefois de la ville. Et tous allaient armés quand ils sortaient des terres, comme s’ils allaient au combat; et malgré tout cela, qui le rencontrait seul ne pouvait se défendre de lui. Et par peur de ce loup ils en vinrent au point que personne n’était assez hardi pour sortir hors de la ville. C’est pourquoi François ayant compassion des hommes de la ville, voulut sortir face à ce loup, bien que les habitants le lui déconseillassent tout à fait: et ayant fait le signe de la sainte croix, il sortit hors de la ville, lui et ses compagnons, mettant en Dieu toute sa confiance. Et les autres, hésitant à aller plus loin, François prend le chemin vers le lieu où était le loup. Et voici que, devant beaucoup d’habitants qui étaient venus voir ce miracle, ledit loup alla à la rencontre de François, la gueule ouverte; et François s’approchant de lui, fit sur lui le signe de la croix, l’appela à lui et lui parla ainsi:

François : Viens ici, frère loup, je te commande de la part du Christ de ne faire de mal ni à moi, ni à personne.

Admirable à dire! Aussitôt que François eut tracé la croix, le terrible loup ferma la gueule et cessa de courir. Et, le commandement fait, il vint paisiblement comme un agneau, se jeter couché aux pieds de François.

François : Frère loup, tu fais beaucoup de dommages en ces endroits, et tu as commis de très grands méfaits, abîmant et tuant les créatures de Dieu sans sa permission. Et non seulement tu as tué et dévoré les bêtes, mais tu as eu la hardiesse de tuer et d’abîmer les hommes faits à l’image de Dieu; pour cela tu mérites les fourches comme un voleur et un assassin très méchant et tout le monde crie et murmure contre toi, et toute cette contrée t’a en inimitié. Mais je veux, frère loup, faire la paix entre toi et ceux-ci, que tu ne les offenses plus, et qu’ils te pardonnent chaque offense passée, et ni les hommes, ni les chiens ne te persécuteront plus.

Ces paroles dites, le loup, par les mouvements de son corps, de sa queue et de ses oreilles et en inclinant la tête montrait qu’il acceptait ce que François disait et qu’il voulait l’observer.

Mes petites sœurs les Fleurs…

François : Frère loup, puisqu’il te plaît de faire et de tenir cette paix, je te promets de te faire donner toujours ce qu’il te faut, tant que tu vivras, par les hommes de cette ville, et ainsi tu ne pâtiras plus de la faim, car je sais bien que c’est la faim qui t’a fait commettre tout ce mal. Mais puisque je t’obtiendrai cette grâce, je veux, frère loup, que tu me promettes de ne plus jamais nuire à aucun homme, ni à aucun animal. Me promets-tu cela?

Et le loup, en inclinant la tête, fit le signe évident qu’il promettait.

François : Frère loup, je veux que tu me fasses foi de cette promesse, afin que je puisse m’y fier.

Et François étendant la main pour recevoir sa foi, le loup leva sa patte droite de devant et la posa familièrement sur la main de François, lui donnant ainsi le signe de foi qu’il pouvait.

François : Frère loup, je te commande, au nom de Jésus-Christ, de venir avec moi maintenant, sans rien craindre; et nous allons conclure cette paix au nom de Dieu.

Et le loup obéissant s’en vint avec lui comme un doux agneau. Ce que voyant, les habitants s’émerveillèrent grandement. Et subitement cette nouveauté se sut par toute la ville; aussi, tout le monde, grands et petits, hommes et femmes, jeunes et vieux furent attirés vers la place pour voir le loup avec François.

Ledit loup vécut ensuite deux années à Agobbio; et il entrait familièrement dans les maisons, de porte à porte, sans faire de mal à personne et sans qu’il lui en soit fait; et il fut courtoisement nourri par les habitants; et s’en allant ainsi par la ville et par les maisons, jamais aucun chien n’aboyait après lui. Finalement, après deux années, frère loup mourut de vieillesse. Ce dont les habitants eurent beaucoup de douleur; car, en le voyant aller ainsi paisible par la ville, ils se rappelaient mieux la vertu et la sainteté de François.

Cette fioretti rentre dans notre histoire, pour Cerbère et surtout pour leurs propriétaires afin qu’ils fassent plus souvent appel à François pour rendre le Chemin plus tranquille par rapport aux aléas canins.

(à suivre…)


entre Monastero di Santa Anna et Montepulciano…

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NOS ÉTAPES VUES PAR RUNKEEPER



Petit traité sur l’immensité du monde de Sylvain TESSON


« La marche fait affleurer à la surface de la mémoire les strates de souvenirs rangées dans la boite en os du crâne, cette caisse d’archives, le plus précieux bagage du voyageur. On fouille, on trie ; un éclair soudain et l’on se souvient d’un moment drôle presque oublié et l’on éclate de rire. Un passant nous prendrait pour un fou car il ne saurait pas que rien ne vaut de passer un bon moment avec soi-même, à parcourir les rayonnages de sa bibliothèque intérieure. »


DES VISAGES SUR DES NOMS


Capezzuto Vincenzo : Danseur c’est également un excellent chanteur. Doté d’une subtile voix enfantine presque alto, il correspond parfaitement à l’esthétique de L’Arpeggiata, formation avec laquelle il collabore.
Galeazzi Lucilla : Chanteuse italienne. Entre tradition et modernité.
Mancini Luciana : Mezzo soprano suédo-chilienne, chante elle aussi avec l’ensemble l’Arpeggiata.
L’Arpeggiata est un ensemble international de musique ancienne et traditionnelle vocale et instrumentale créé par Christina Pluhar.


entre Montepulciano et Chiusi…


Le trio BAB.DOM.GIL, à l’œuvre…


Trouvez l’intrus ???

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« Il aimait la mort, elle aimait la vie,
il vivait pour elle, elle est morte pour lui.
William. »



Rendez-vous dans le prochain article : ASSISI


15 réflexions au sujet de « TOSCANA QUATTRO »

    • Salut Bab,

      C’est vrai que cette photo intrigue…
      Un grand plaisir de le faire aussi… Quand la Dom m’en donne le temps !
      « L’Orgueil, semblable à un aigle, bâtit son nid parmi les étoiles ; mais le Plaisir, semblable à l’alouette, fait son nid à terre. « 
      Edward Young ; Les nuits (1742)

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  1. Il est bien beau ton poème Gilles :
    « Des rubans de sentiers

    Entre ta terre et tes hommes »

    Moi aussi, je suis très sensible à ces courbes naturelles et aux camaïeux si harmonieux de la Toscane qui se laisse admirer sous le chaud soleil de l’été.

    Belle trouvaille Gilles ce « Vincenzo Capezzuto » excellent chanteur et danseur :

    En revoyant ce voyage, j’ai envi de dire : « Oh combien de surprises en fin de journée quand nous découvrons notre lieu de repos ! Si différents d’un jour à l’autre mais 99 fois sur 100 charmant ! »

    A très bientôt Gilles, j’attends la suite Ton Musardo

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    • Cher Musardo,

      Beaucoup de choses dans ce que tu me réponds mon Petit Musardo…
      . Le poème TOSCANA, hé oui… je le sentais bien !
      . Les Courbes de la Toscana, fabuleuses, ondulations, bombés, galbes, ah, là, là, là… C’est assez peu poétique, très technique, mais les paysages toscans me font penser à mes dessins d’électrotechniques, tout en sinusoïdales des courants alternatifs. Voilà, j’ai trouvé la douceur galbée de ces paysages nous électrisent, c’est pour cela que nous les aimons tant.
      . Ah, ce Vincenzo Capezzuto, content de l’avoir découvert celui-là, quel artiste! Aller on s’en remet une pour le plaisir…

      .Tu as raison de mettre l’accent sur cet hébergement que nous découvrons chaque jour… 99 est peut-être un peu fort, non ?
      Un proverbe arabe que l’on doit se souvenir pour février : « N’abuse de rien : quand le chameau plie le genou, c’est qu’il a besoin de repos. »

      Ne t’en fais pas Musardo, les nouvelles arrivent…
      Mais à dos d’escargot, alors!!!

      Gilo

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  2. Quel poème ! un régal, couleurs, courbes, odeurs… tout comme j’aime pour sentir un paysage où il n’y a plus que la poésie pour dire les sensations, les émotions. Merci pour ce plaisir de lire et faire un bout de chemin avec vous trois. J’ai bien envie à mon tour d’aller découvrir la Toscane que tu chantes si bien…
    O*

    Aimé par 2 personnes

  3. Encore des chiens ??? Décidément ils vous poursuivent …
    Dommage c’est tellement beau Montepulciano. Et puis le vin y est tellement bon…
    La prochaine fois, quand les chiens auront couru après d’autres bêtes, vous aurez peut-être la chance d’y gouter… Ou alors passez par chez nous, ils en reste quelque bouteilles.
    Bises

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    • Cher Max,
      Nous sommes loin de faire une obsession sur la gente canine que nous laissons bien gentiment à sa condition d’animalité… Nous ferions plutôt une obsession à l’encontre des gros cons de propriétaires qui excitent connement ces bêtes contre des marcheurs qui ne leur demandent rien… Si, peut-être de mettre un double bémol sur leur agressivité, leur violence et leurs gueules lorsque nous passons… Mais basta !
      Effectivement Montepulciano, fabuleuse cité toscane, comme tant d’autres où nous sommes passés… Quant au vin…
      Un grand verre de bises…

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  4. Ah Ben dites donc…On voit que c’est la fin du périple….
    Ma pov tite Dom…te vla ben fatiguée au bras dton homme…..je reconnais point la Bab…c’est y qu’al a changé sa ptite fleur ??
    J’aime ces portraits…
    Si ça se trouve ils ont fait de la marche quand ils étaient jeunes….
    Jvous bige…
    Nicole

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    • Salut Nicole,
      Je l’aime aussi beaucoup cette photo prise dans les rues de Montepulciano… On peut y rattacher une belle symbolique !
      Justement en parlant de symbolique j’ai pensé à cette autre photo prise à Florence… C’est Julieta, une copine à nous qui fait la manche sur le Ponte Vecchio pour nous permettre de continuer nos pérégrinations…
      Des bises affectueuses…
      Gil&Dom & Julieta

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    • Salut Jean-Claude et Nelly,
      Merci pour ce commentaire dithyrambique…
      Mais c’est un vrai plaisir de partager, ce que l’on a vu, écouté, admiré, aimé avec ceux qui souhaitent s’associer à nos coups de cœur, à notre cheminement… Ces échanges font partie du bonheur que nous recevons à faire nos pérégrinations.
      Échanger, parler, communiquer, rencontrer n’est-ce pas la meilleure formule pour le PAX et BONUM du gars François…
      Nous vous embrassons,
      Gil&Dom

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    • Salut Thierry,

      Merci beaucoup pour ce commentaire qui nous fait chaud au cœur.
      Des retours qui comptent beaucoup pour nous… Ces échanges, ces rencontres privilégiées, fortuites, inattendues, imprévues font partie de notre cheminement pérégrin. Ce sont les « bravos » aux histrions, les « Encore » aux artistes, les « bis » aux voyageurs… ET C’EST BON à entendre ou à lire !

      Des bises à vous Quatre,
      Gil&Dom

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